Pourquoi s’intéresser aux particules fines ? Quels effets sur la santé humaine ?


La pollution atmosphérique est passée au premier plan des préoccupations environnementales, juste après le réchauffement climatique auquel elle est d’ailleurs largement associée. En effet, les épisodes climatiques extrêmes de plus en plus fréquents (canicule, vents de sable, etc) entraînent presque systématiquement des pics de pollution affectant directement les populations (effets sur la santé, restrictions de circulation, etc).

La pollution atmosphérique, c’est la présence dans l’air extérieur de gaz et de particules ayant des effets négatifs sur la santé et sur l’environnement.

En France, on constate que la présence de particules fines dans l’atmosphère est préoccupante dans plusieurs zones géographiques et fait d’ailleurs l’objet régulièrement d’avertissements de la Commission Européenne.

Les sources de particules dans l’atmosphères sont : les émissions de véhicules motorisés (moteurs, mais aussi freins et pneus), la combustion du charbon (pour le chauffage domestique, la production d’électricité et dans l’industrie) et de produits pétroliers (industrie, combustion au fuel du transport maritime, etc), certaines procédés industriels (sidérurgie, métallurgie notamment), le brûlage de végétation et, dans une moindre mesure des émissions anthropiques telles que l’abrasion des routes sans revêtement, les sites de construction ou la remise en suspension de poussières par les véhicules.

Il s’agit d’un véritable enjeu de santé publique puisqu’on estime que la pollution aux particules fines PM 2,5 est responsable de 48000 décès prématurés par an en France, en particulier, mais pas seulement, en zone urbaine. Dans les villes de plus de 100 000 habitants, on estime que l’exposition aux particules fines PM 2,5 est responsable d’un abaissement de 15 mois de l’espérance de vie à 30 ans.

Les principaux effets, maintenant bien connus, sont cardiovasculaires et respiratoires. Mais des études plus récentes commencent à établir un lien entre les fonctions cognitives et reproductives et la pollution aux particules. Le CIRC (Centre International de recherche sur le Cancer) a par ailleurs classé la pollution de l’air ambiant dans son ensemble et les particules fines la composant comme cancérogènes pour l’homme (groupe 1).

Cette pollution affecte réellement les conditions de vie de la population : une étude de 2008 révélait que 58% des Franciliens déclaraient avoir déjà ressenti les effets de la pollution atmosphérique sur leur santé ou celle de leur entourage, ce chiffre monte à 67% pour les personnes déclarant vivre à proximité d’un axe routier important.

Le bâtiment n’offre pas toujours une protection efficace contre la pollution atmosphérique aux particules : celles-ci peuvent en effet pénétrer à l’intérieur des bâtiments soit par les systèmes de ventilation soit par infiltration (portes, fenêtres…). Selon les études, entre 70 et 90% des particules retrouvées à l’intérieur d’un bâtiment occupé en zone urbaine proviennent de l’extérieur, surtout quand il s’agit des plus fines. Il est cependant possible d’améliorer la qualité de l’air intérieur, en particulier quand il s’agit des particules fines, en canalisant les entrées d’air, en positionnant les prises d’air neuf de manière intelligente, en installant des systèmes de filtration efficaces associés à une maintenance régulière, et en adoptant de bonnes pratiques concernant l’aération du bâtiment.  

Les ingénieurs d’ISPIRA accompagnent les propriétaires et gestionnaires de bâtiments (ERP, bureaux, logements) à la fois dans le diagnostic et a recherche de solutions adaptées de maîtrise et de surveillance de l’exposition aux particules fines.

La pollution atmosphérique est passée au premier plan des préoccupations environnementales, juste après le réchauffement climatique auquel elle est d’ailleurs largement associée. En effet, les épisodes climatiques extrêmes de plus en plus fréquents (canicule, vents de sable, etc) entraînent presque systématiquement des pics de pollution affectant directement les populations (effets sur la santé, restrictions de circulation, etc).

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La pollution atmosphérique, c’est la présence dans l’air extérieur de gaz et de particules ayant des effets négatifs sur la santé et sur l’environnement.

En France, on constate que la présence de particules fines dans l’atmosphère est préoccupante dans plusieurs zones géographiques et fait d’ailleurs l’objet régulièrement d’avertissements de la Commission Européenne.

Les sources de particules dans l’atmosphères sont : les émissions de véhicules motorisés (moteurs, mais aussi freins et pneus), la combustion du charbon (pour le chauffage domestique, la production d’électricité et dans l’industrie) et de produits pétroliers (industrie, combustion au fuel du transport maritime, etc), certaines procédés industriels (sidérurgie, métallurgie notamment), le brûlage de végétation et, dans une moindre mesure des émissions anthropiques telles que l’abrasion des routes sans revêtement, les sites de construction ou la remise en suspension de poussières par les véhicules.

Particules fines !

Comment mesure-t-on la qualité de l’air ?

Il s’agit d’un véritable enjeu de santé publique puisqu’on estime que la pollution aux particules fines PM 2,5 est responsable de 48000 décès prématurés par an en France, en particulier, mais pas seulement, en zone urbaine. Dans les villes de plus de 100 000 habitants, on estime que l’exposition aux particules fines PM 2,5 est responsable d’un abaissement de 15 mois de l’espérance de vie à 30 ans.

Les principaux effets, maintenant bien connus, sont cardiovasculaires et respiratoires. Mais des études plus récentes commencent à établir un lien entre les fonctions cognitives et reproductives et la pollution aux particules. Le CIRC (Centre International de recherche sur le Cancer) a par ailleurs classé la pollution de l’air ambiant dans son ensemble et les particules fines la composant comme cancérogènes pour l’homme (groupe 1).

Cette pollution affecte réellement les conditions de vie de la population : une étude de 2008 révélait que 58% des Franciliens déclaraient avoir déjà ressenti les effets de la pollution atmosphérique sur leur santé ou celle de leur entourage, ce chiffre monte à 67% pour les personnes déclarant vivre à proximité d’un axe routier important.

Le bâtiment n’offre pas toujours une protection efficace contre la pollution atmosphérique aux particules : celles-ci peuvent en effet pénétrer à l’intérieur des bâtiments soit par les systèmes de ventilation soit par infiltration (portes, fenêtres…). Selon les études, entre 70 et 90% des particules retrouvées à l’intérieur d’un bâtiment occupé en zone urbaine proviennent de l’extérieur, surtout quand il s’agit des plus fines. Il est cependant possible d’améliorer la qualité de l’air intérieur, en particulier quand il s’agit des particules fines, en canalisant les entrées d’air, en positionnant les prises d’air neuf de manière intelligente, en installant des systèmes de filtration efficaces associés à une maintenance régulière, et en adoptant de bonnes pratiques concernant l’aération du bâtiment.  

Les ingénieurs d’ISPIRA accompagnent les propriétaires et gestionnaires de bâtiments (ERP, bureaux, logements) à la fois dans le diagnostic et a recherche de solutions adaptées de maîtrise et de surveillance de l’exposition aux particules fines.

ville dans la pollution aux particules